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Le vertige des possibles. 

Tu sais, comme les vagues au fond des yeux

Qui se défroissent et se plissent

C’est peut être un truc moche que je voudrais te dire. Un truc maladroit qui tombe mal, trop tard, après la chance. Un truc qu’on lit pas jusqu’à la fin, qu’on comprend qu’à moitié car tu n’irais pas jusqu’aux sens des mots et des images.

Pardonne-moi, je ne suis qu’une voleuse. 

T’entends quelque chose dans ce boucan ?

Frappe plus fort on est plus à ça près.

Et le subtile, agonisant, remonta à la surface. 

Les marins s’étonnèrent. C’était le fond ? 

C’est abyssal, c’est plongeons.

C’est pas civil, c’est pas urbain

C’est fortement déconseillé.

Oh chic alors !

Toi, moi, vous. 

Je me demandais où mes inconnus connus circulaient
En cette tombée de nuit
Si leurs silences les consolaient
Si le bruit masquait leurs peines
Si leurs joies se remplissaient par petites touches
Dans cette nuit tombante entourée de rouge et de bleu vif, j’imaginais leurs yeux guetter, vides de tout tracas.

(Séries en cours)

Consigne : interroger le rapport texte / image, observer l'apparent anodin, les détails insignifiants, les entre-deux, le non-calculé. 

Les paisibles
 

Sur le vide se posent tous ces yeux qui viennent attendre là.
On dirait qu’ils réfléchissent, oui c’est certain, c’est cela qu’ils font.
Ils réfléchissent au moins.

En rapides coup d’œil, déshabillez-moi ces âmes !

Avant qu'ils ouvrent leurs bouches muettes, ils m'étaient familiers, pour un tas d'invisibles raisons. Leurs arêtes étaient blanches, noires ou roses et serpentaient sur les tissus synthétiques de leurs costumes, quels qu'il soient.

Ces pantins de silence.
Je ne voyais que leurs mains, prêtes et interdites.

Pantois, tordus, agrippés, relâchés, ces bouts de chairs révèleraient presque les mensonges de leurs propriétaires.

Vos retours, vos mots doux 

{ M E R C I , E N CO R E }

(...)Très heureux d’apprendre à te connaitre un peu plus par ta plume. J’ai lu un peu, et je profite de la soirée pour continuer : t’es super douée, c’est scandaleux ! Effectivement, je ne te connais pas du tout. C’est toujours gênant de dire de grands vrais beaux compliments, car ça fait toujours un peu cliché et tout, mais non, vraiment je suis touché. Poétique, j’aime le dosage fait de partage, de découvertes, de trait de pensées, parfois fugace comme un regard dans le métro, parfois plus développé mais toujours avec une poésie. J’ai toujours adoré les lettres et j’adore ce que je lis, ce que tu dis de toi tout en l’enveloppant de pudeur et de subtilité. Faut surtout pas que tu arrêtes quand tu te sens découragée. Ca bouillnne, ca crie, ça pleure, ça aime, ça vibre, ça vit quoi ! Et j’ai toujours considéré que le doute était bon signe. Voilà, de façon un peu confuse, vraiment bravo !  Sébastien Tixier.

La face cachée de notre Coline. « La pudeur est volupté », disait Balzac. Ambroise. 

Je suis assez touché, épaté, impressionné…

Ta plume est très belle et agréable à lire. Ou pas « belle » mais singulière. Quand on  te connait, on te reconnait par tes mots, tes phrases qui font des routes, qui vont ici puis se perdent et reviennent, et vont là.. Elles sèment pleins de petites choses, des pensées, des mots. On se laisse prendre au voyage. (...) Manju Ka Tilla

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